Question arménienne

Comme chaque année, nous commémorons la victoire turque du 30 août 1922, sur les forces d’invasion grecques; il nous paraissait néanmoins important de rappeler à nos lecteurs le sens et l’importance de cette bataille. Cette victoire, chèrement acquise, fut celle de la liberté, de la dignité, voire de l’existence même du peuple turc qui fera obstacle aux visées des puissances impérialistes. …[Lire la suite]

Après 109 ans, les arrestations du 24 avril 1915 survenues dans l’Empire ottoman contribuent toujours à « l’enfermement génocidaire» des ultra-nationalistes arméniens. Les arrestations du 24 avril 1915 sont-elles la manifestation d’une persécution aveugle et injustifiable ? Qu’en est-il en réalité ? C’est ce que nous vous proposons de découvrir dans cette analyse dûment référencée. …[Lire la suite]

Pour beaucoup « Khodjaly » est inconnue. Pour les mieux informés, « Khodjaly » constitue une page noire de l’histoire de l’humanité, un acte barbare commis dans le Caucase du Sud par les forces arméniennes il y a près de 30 ans. Pire, selon la décision de la Cour européenne des droits de l’homme datée du 22 avril 2010, le massacre perpétré à Khodjaly en Azerbaïdjan est synonyme de crimes de guerre ou crime contre l’humanité.  …[Lire la suite]

Le 24 avril : éthocide ou génocide arménien ? Un monde entre la logique commémorative et la logique historique ou pourquoi la focalisation des activistes arméniens sur la date du 24 avril 1915 est incorrecte, et source de contrevérités. …[Lire la suite]

Nous souhaitons apporter une mise au point sur la déformation et l’instrumentalisation de cet événement. 180 Arméniens furent arrêtés le 24 avril 1915, nous sommes donc loin des « milliers » invoqués et surtout, il ne s’agissait pas de simples « intellectuels » comme il a été démontré. Le 24 avril, c’est aussi l’histoire de ces révolutionnaires arméniens arrêtés qui ont précipité une partie de leur peuple dans l’abîme, avec de précipiter, à leur tour, une partie des survivants dans un enfermement génocidaire, ô combien préjudiciable à la paix et à la reconciliation entre les peuples. …[Lire la suite]

A l’occasion de la journée du «24 avril», nous avons envoyé un coffret DVD sur la question arménienne aux membres du Conseil fédéral, du Conseil des Etats et du Conseil national. Après sa réception, la députée Stéfanie Prezioso nous prendra directement à partie dans une diatribe intitulée «Nous sommes toutes et tous des Arméniens», parue dans la Tribune de Genève du 4 mai 2021. Soucieux du pluralisme de l’information, le quotidien nous donna un droit de réponse. Découvrez-le ici. …[Lire la suite]

Jeudi 4 février à Paris, un nouveau procès en diffamation opposera l’historien français Maxime Gauin (partie civile) à Jean-Marc « Ara » Toranian, ancien chef de la branche « politique » de l’ASALA en France et à Laurent Leylekian, ancien directeur de France-Arménie. En plus des conclusions sur le fond, une question prioritaire de constitutionnalité contre la loi du 29 janvier 2001 « portant reconnaissance du génocide arménien » vient se grever sur ses poursuites. …[Lire la suite]

La tragédie turco-arménienne de 1915 est, comme l’ont jugé la CEDH et le Conseil constitutionnel français, l’objet de débats historiques. Comme nul ne saurait débattre sans arguments, nous vous soumettons les explications de l’historien français Maxime Gauin sur des points essentiels: l’origine des évènements; la décision prise par le gouvernement ottoman; les conditions du déplacement forcé; et enfin, une mise au point sur des arguments en faveur de la qualification de «génocide». …[Lire la suite]

Nous faisons partager à nos lecteurs le compte-rendu rédigé par l’historien français Maxime Gauin sur le procès en appel du 21 février 2019 à Paris qu’il a engagé contre deux nationalistes arméniens : Jean-Marc « Ara » Toranian, coprésident du Conseil de coordination des associations arméniennes de France (CCAF) et ancien chef de la branche politique du groupe terroriste Armée secrète arménienne pour la libération de l’Arménie (ASALA), et Samuel Tilbian, ex-trésorier de la Fédération des associations arméniennes de Rhône-Alpes. …[Lire la suite]

S’exprimant le 5 février 2019 à l’occasion du dîner annuel du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France, le président de la République française, Emmanuel Macron, annonçait que le 24 avril deviendrait une « journée nationale de commémoration du génocide arménien ». Le Conseil constitutionnel français a, par le passé, invalidé des projets de loi mémorielle et liberticide sur le « génocide arménien », rappelant aux politiciens qu’ils ne peuvent ni ne doivent se constituer en tribunal de l’Histoire. La Constitution française n’a pas donné compétence aux politiciens pour dire l’Histoire : c’est aux historiens et à eux seuls qu’il appartient de le faire. Partant de ce principe, nous avons souhaité, après le discours déconcertant d’Emmanuel Macron, donner la parole à M. Maxime Gauin, historien français. …[Lire la suite]

A l’occasion du procès qui aura lieu le 21 février 2019 à 13h30 dans les locaux historiques du Tribunal de Paris, la Fédération des associations turques de Suisse romande, exprime son soutien à l’historien français Maxime Gauin, victime de diffamations et d’injures venant de Jean-Marc « Ara » Toranian, ancien responsable, en France, de la branche politique du groupe terroriste “Armée secrète arménienne pour la libération de l’Arménie” (ASALA), actuellement coprésident du Conseil de coordination des associations de France (CCAF) et de Samuel Tilbian, ex-trésorier de la Fédération des associations arméniennes de Rhône-Alpes. …[Lire la suite]

Ce sont près de deux cents personnes, dont de nombreux diplomates et dignitaires de Turquie, d’Azerbaïdjan, du Qatar, du Pakistan, du Kosovo et d’Albanie, ainsi que des responsables du monde associatif, qui ont répondu à notre invitation à venir participer, le samedi 9 juin 2018, à 15h, à la Promenade de l’Observatoire à Genève, à une cérémonie en hommage à Mehmet Savaş Yergüz, secrétaire du Consulat de Turquie à Genève, victime du terrorisme arménien, 37 ans plus tôt, jour pour jour. Nous vous invitons à découvrir le résumé de cette cérémonie. …[Lire la suite]

Bundan 37 yıl önce, 9 Haziran 1981, Ermeni terör örgütü ASALA’nın fanatik üyesi Mardiros Jamkochyan, evine gitmek üzere olan Başkonsolosluk Sekreteri Mehmet Savaş Yergüz’ü şehit etmişti. Geçtiğimiz yıllarda Mehmet Savaş Yergüz için Cenevre Başkonsolosluğu’muzda anma törenleri düzenlenmişti. Bu yıl onu ilk defa, şehit edildiği yere çok yakın bir mesafede bulunan bir kamu alanında düzenleyeceğimiz bir törenle anacağız. Bu nedenle, siz değerli üyelerimizi, dostlarımızı ve basın mensuplarını 9 Haziran 2018 Cumartesi günü saat 15:00– 6:30 arasında Esplanade de l’Observatoire’da gerçekleştireceğimiz bu anlamlı törene davet ediyoruz. …[Lire la suite]

Il y a 37 ans, le mardi 9 juin 1981, Mehmet Savaş Yergüz, secrétaire du Consulat de Turquie à Genève, qui venait de quitter son travail fut lâchement assassiné par un Arménien fanatisé, Mardiros Jamkochyan, membre de l’organisation terroriste ASALA. Si la mémoire de Savaş Yergüz fut honorée par le passé, c’est la première fois qu’une cérémonie à son hommage est organisée sur le domaine public genevois, à quelques pas de l’endroit où il fut assassiné. Nous nous réjouissons de vous accueillir à la cérémonie solennelle en hommage la mémoire de Savaş Yergüz qui se tiendra à en bas de l’Esplanade de l’Observatoire à Genève, le samedi 9 juin 2018, de 15h00 à 16h30. …[Lire la suite]

“Le Point” s’invite dans la campagne électorale qui bat son plein en Turquie, en consacrant dans son édition du 24 mai 2018, un numéro titré « Le dictateur. Jusqu’où ira Erdogan ?». Cette irruption dans le paysage électoral turc n’est certes pas fortuite. Que (et qui) se cachait derrière les diatribes et autres désinformations étalées au fil des pages dans cette édition ? Voici notre analyse, en guise de réponse au “Point”, et notre intervention du 30 mai 2018 dans l’émission “Tout un monde” de la RTS. …[Lire la suite]